Le parcours m’a d’abord donné une grande joie. Il m’a permis une réflexion personnelle sur mes choix de vie au quotidien.
Ça m’apporte beaucoup dans ma vie professionnelle. Les exercices me permettent d'acquérir de bons réflexes. Aujourd'hui j’essaie de ne pas juger les autres, de moins les critiquer…
Le fait d’avoir fait des exercices quotidiens fait que c’est maintenant devenu automatique d’analyser les situations quotidiennes à la lumière de la doctrine sociale de l’église. J'ai les bons outils et je peux les utiliser facilement.
On amène les gens à réfléchir au fait qu’ils courent souvent après un bonheur matériel illusoire, alors que le vrai bonheur peut être profondément ancré dans l’homme.
Faire le parcours, c’est apprendre à être un bon chrétien toute la semaine et pas seulement le dimanche.